Bovins de boucherie La vague de chaleur commence à peser sur la consommation
Avec les records de températures atteints ce week-end, les ventes de viande bovine dans les magasins ont été fortement impactées. Cela a conduit les industriels à réduire leur activité. Heureusement, les volumes disponibles restent très modestes, compte tenu des travaux de fenaison et des moissons.
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Dans les femelles de qualité bouchère, la tendance commerciale reste au plafonnement sur le marché de Cholet. Les bonnes parthenaises se négocient entre 6,00 et 6,50 € tandis que les blondes d’Aquitaine U s’échangent entre 5,30 et 5,50 €, voire 5,60 € pour les meilleures. Les prix des limousines U se situent entre 5,30 et 5,50 €. Du côté des charolaises, la gamme tarifaire oscille entre 5,10 et 5,20 € pour les R et de 5,25 à 5,35 € pour les bonnes vaches U.
En réformes laitières, l’absence de disponibilités assure une certaine fluidité commerciale. L’ensemble des abatteurs a annoncé une reconduction des tarifs dans les bonnes vaches cette semaine, mais un tri plus sévère accompagné de baisses de tarifs pour les animaux trop maigres.
Sur les marchés, le prix des bonnes vaches prim’holsteins se maintient entre 4,80 et 4,85 € alors que la majorité des femelles P= de poids convenable se négocient entre 4,70 et 4,80 €. Les très bonnes normandes et les montbéliardes se négocient de 4,90 à 5,00 €. Les O= se valorisent autour de 4,80 €.
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